1. |
Note à moi-même A
02:03
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Ah Ah Ah Ah
Crois-moi
On se reverra
Même si tu l’penses pas
Crois-moi, crois-moi
ah ah ah
Crois-moi
On se reverra
Crois-moi
On se reverra
Crois-moi
On se reverra
Même si tu l’penses pas
Crois-moi
On se reverra
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2. |
Ininflammable
03:36
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J’peux pas prédire l’avenir
Mais j’peux t’dire que t’as rien à voir d’un polaroïd
Pas mal plus de contraste
Tu finis en premier
Même avec l’herbe coupée sous les pieds
Tu sèmes la tempête
Et si tu crash ton bolide
Pas d’trouble déjà levé
Balais la poussière de ton épaule
Ils s’accrochent à ton nom
Le dépècent et le videront
Le feu te tend la main
Crois-moi qu’t’es ininflammable
Fais c’que tu veux demain
Tu resteras ininflammable
Qu’il fasse noir ou clair
Un ciel ouvert ou une dépression
T’as déjà fais de l’air
Crime, j’t’envie un peu
D’avoir cette face là quand le monde te veux tout cru
Et même si tu crash ton bolide
Pas d’trouble déjà levé
Balais la poussière de ton épaule
Et ils s’accrochent à ton nom
Le dépècent et le videront
Le feu te tend la main
Crois-moi qu’t’es ininflammable
Fais c’que tu veux demain
Tu resteras ininflammable
Crois-moi qu’t’es ininflammable
Fais c’que tu veux demain
Crois-moi
Tu resteras ininflammable
Et j’ai confiance
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3. |
Cent ans
03:28
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Cent ans trop vieux c’est terminé
Les caméras semblent t’éviter
Cent ans trop tards pour être assis
À table d’honneur et confettis
Et y’en a marre, encore
Enfant, le succès est mandatoire
Aucune médaille, que l’or
Ah ah ah
Cent ans et tout semble déjà trop tard
Rampe toi-même jusqu’au corbiard
Ah ah ah
Woo!
Ah ah ah
Au bord de la route les pieds aux butchs
Enfant, tu n’gères plus tes cris
T’écris
Vidé et terne de tes exploits, ah ah ah
J’ai peint d’une teinte écarlate mes trophés et mes prix
Est-ce que c’est mieux maintenant?
J’ai peint d’une teinte écarlate mes trophés et mes prix
Est-ce que je suis, maintenant?
Ouh, ouh
Enfant, le succès est mandatoire
Mais écoute un peu tes yeux fatigués
Cent ans et la route se dresse encore
Et on sait qu’on peut
Et on sait qu’on peut
Même plus fort
Woo
Ah ah ah
Même plus fort
Ah ah ah
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4. |
Peur des hauteurs
03:35
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Deux phares dans la neige
Au sommet tes yeux brillent
Et signalent ta détresse
Convaincu que tes mots
Ne résonneront à rien
Tes paroles, isolantes
Pensées en verlant
Que seulement toi comprend
Dans ta tête, dans ton corps
Au dessus des foules qu’est-ce que t’auras à crier?
Si t’entends pas d’écho vas-tu paniquer?
Si l’horizon est vide vas-tu tituber?
As-tu peur des hauteurs?
As-tu peur?
Poussé par les voix
Qui t’invitent à sauter
Au delà du néant
Au dessus des foules qu’est-ce que t’auras à crier?
Si t’entends pas d’écho vas-tu paniquer?
Si l’horizon est vide vas-tu tituber?
As-tu peur des hauteurs?
As-tu peur?
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5. |
Sans GPS
03:37
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J’ai jamais vu la track
J’ai jamais roulé du bon bord
Peu éclairé
La certitude c’est du passé
Mes questionnements sont fêlés
On fly en mode avion
On nage dans toutes les directions
On tombe dans la potion
On tombe dans le mauvais trou
Tu me diras si les détours sont trop longs
Tu call shotgun sans GPS et sans plans, ah
Je sais pas où je m’envas mais t’es là
Je sais pas où je m’envas mais t’es là
Sans GPS
Les esprits cartésiens m’ont abandonnés
J’ai tant à prouver mais rien pour démarrer
Tu m’auras tendu un canevas dépouillé
Tu m’as montré où commencer
Ah, t’as frôlé mon épaule
J’ai traîné mon regard
La gravité m’a laissée tomber et demandé
Pourquoi les détours sont trop longs?
J’ai vidé le siège passager
Et j’ai remarqué que tous mes disques parlent de toi
Je sais pas où je m’envas mais t’es là
Je sais pas où je m’envas mais t’es là
Je sais pas où je m’envas mais t’es là
Je sais pas où je m’envas mais t’es là
Je sais pas où je m’envas mais t’es là
Je sais pas où je, je sais pas où je m’envas
Je sais pas où je m’envas
Sans GPS
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6. |
Volcan
03:47
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Tu nous trouves un peu drôles
Montés sur nos grands chevaux
Et toi groundé
Les deux pieds sur terre
Stable et fier
Ah ah ah, ah ah ah
Existence stationnaire
Tremblement de terre ne te fera jamais tituber
Tes idées sont claires et tu nous nargues d’un air
Ah ah ah, ah ah ah
Ah ah ah, ah ah ah
Ah ah ah, ah ah ah, ouh ouh
Et quand ça sera la fin du monde
Bin tu seras clairement dans ‘lave
Ah ah ah, ah ah ah
Tu nous trouves un peu drôles
Montés sur nos grands chevaux
Et toi ligoté les deux pieds en l’air
Tu vois le monde à l’envers
Et le sang te monte à la tête
Le sang te monte à la tête
Le sang il monte et tu vois rouge
Quand ça sera la fin du monde
Au loin on t’entenderas sceptique encore
Si c’est vraiment la fin du monde
Mais tu seras clairement dans ‘lave
Mais t’es clairement dans, oh oh oh
Dans ‘lave
WOO!
Dans ‘lave
Dans ‘lave
Dans ‘lave
Tu nous trouves un peu drôles
Mais je crois quand même qu’il faut des fois s’emporter
Même si c’est pas la fin du monde
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7. |
Vrai
01:31
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Idée sous la pluie
Au bûcher tes ennemis
Allume une roullée bien serrée
La fumée monte et au fond tu te sens vrai
Payé tes comptes et tes rois
Débarrassé de ton change et émois
Et tu n’en dois une qu’à toi-même
Plus aucune dette et au fond tu te sens vrai
La la la la la la
La la la la la la
Ah la la la, ah la la
Ah la la la, ah la la
Plus aucunes dettes et au fond tu te sens vrai
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8. |
Pour Sortir
03:11
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Vite, pour sortir
Regarde dans le noir
Et apaise toi
Loins, loins de ça
Mieux vaut le vide
Que l’enfer d’une cage
En incendie
Sous ton toît la guerre froide
ah ah ah
Si les heures vous quittent
Mais rien ne change, vas-tu comprendre?
Et dis-moi, as-tu peur
De devoir recommencer sans le temps,
Sans le vent
Sans un chant
Sans son sang?
C’est pour la chance du changement
Pour la chance d’aimer autant que tu restes
Pour que tout le monde n’y pense plus jamais
Une force, un call, deux verres, deux corps brûlants
Trop chauds, trop froids, trop tôt
Une vague, un cri, deux bras, un lendemain
Un temps d’arrêt incertain
Si les heures vous quittent
Mais rien ne change, vas-tu comprendre?
Et dis-moi, as-tu peur
De devoir recommencer sans le temps,
Sans un chant
Sans son sang?
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9. |
Note à moi-même B
03:41
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Ouh ouh ouh
Ouh ouh ouh, ouh
Couché à m’obstiner contre mes paupières
Je commence à voir une constante
Tu t’empares de ma tête quand je perds mes airs
De gars toujours en confiance
Même si je montais au sommet, y’aurait pas plus bas
Et si j’commence à y grimper, t’arrête ça drette-là
J’ai beaux avoir espoir d’abattre la bête, de combattre le mal
Mais tu reviens toujours en criant
Crois-moi, on se r’verras
Même si tu l’penses pas
Ah, ahah, ah, ahah
Ah, ahah
Même si tu l’penses pas
L’amygdale qui s’active dès que j’me sens mieux
Tu me rappeles que t’es pas loins
Un vide constant même si y’a pas de creux
Un trou noir assez voisins
Même si je montais au sommet, y’aurait pas plus bas
Et si j’commence à y grimper, t’arrête ça drette-là
J’ai beaux avoir espoir d’abattre la bête, de combattre le mal
Mais tu reviens toujours en criant
Crois-moi, on se r’verras
Même si tu l’penses pas
Même si tu l’penses pas
On se r’verras
On se r’verras
(1, 2, 1-2-3-4!)
Ah, ahah, ah, ahah
Ah, ahah
Même si tu l’penses pas
Ah, ahah, ah, ahah
Ah, ahah
Hey!
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La Faune Montreal, Québec
La Faune, c’est Jay Essiambre : Un réalisateur de la relève qui mélange le rock, la pop, le folk et
l’expérimental
pour créer sa propre jungle musicale unique. C’est un son travaillé à travers maintes réalisations au studio de Jay,
le Studio Malamute.
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